STG Conseil

Proyecto Mali

Description du projet Malì

Il a été convenu entre MM. KEITA, COULIBALY, SANGARE et NICOLAU de mettre en commun leurs compétences afin de demander à l’état malien une concession forestière dans le Cercle de Kita au Mali.
Dans ce but, ils ont créé ensemble une SAS de droit malien, la SOGEF.
Aidé d’un expert des Eaux et Forêts renommé, Monsieur Modibo COULIBALY, ils ont travaillé sur la prise en concession de près de 144 000 hectares de massifs forestiers.
Ils ont déjà obtenue une concession sur 5 massifs forestiers formant un total de 24 853 hectares qui ont été confiés en amodiation à la SOGEF.
Le projet est l’exploitation durable (respect du Plan de Gestion et d’Aménagement imposé par les Eaux et Forêts et labellisation FSC dans un second temps) des massifs par le prélèvement de 18 000m3 de grumes et de pieds et de 2 000m3 de surbilles, permettant à la forêt une croissance régulière qui conduira à la possibilité de prélever jusqu’à 40 000m3 par an dans 20 ans sans impacter son écosystème, sa faune et sa flore.
Pour cause de réorganisation interne, la SE Rosua souhaite vendre ses parts dans la SOGEF qui seront valorisées à hauteur de la valeur des massifs.
Les autres actionnaires souhaitent également vendre leurs parts.
Il est possible de négocier avec le gérant pour qu’il reste en place, sous certaines conditions.

Valeur du projet

Le prix moyen d’un hectare de forêt est 250 euros, soit 36.125.000 euros pour 144 500 hectares.

Marge présumée

Cette exploitation peut être renouvelée indéfiniment auprès de l’état malien et des propriétaires forestiers si l’exploitant remplit les conditions du Plan de Gestion et d’Aménagement. Ce qui fait 40 000m3 de grumes par an à l’export vers des marchés porteurs en Europe (valeur à déterminer en fonction de la nature de l’export (bois brut ou produit transformé) et du pays destinataire, chiffres soumis à la valeur boursière).

Durée du projet

Renouvelable indéfiniment si exploitation conduite correctement.

Situation de départ

Zone peu exploitée et pillée régulièrement par des braconniers si non surveillée.
Population dense à faibles revenus.
Aucune exploitation forestière avoisinante.

Situation actuelle

25 000 hectares de concessions effectives, 140 000 hectares potentiels.
Un martelage a déjà été effectué pour déterminer les coupes de l’année 2020, il met en valeur pour débuter cette année 958 pieds matures d’un diamètre supérieur à 51 cm et 1002 pieds matures d’un diamètre inférieur à 51 cm.
Il a été formé des patrouilles de surveillants pour chaque massif, et chaque patrouille dispose d’une motocross pour patrouiller sur les sentiers et d’un uniforme qui les différencie de la population locale.
Les surveillants ont été formés par Mr COULIBALY, expert des Eaux et Forêts.
Un partenariat avec le bureau d’étude de Mr Coulibaly, expert renommé au Mali ainsi que dans la sous région.
La population a été sensibilisée à l’intérêt commun de garder les massifs intacts.
La SOGEF s’est déjà illustrée comme un acteur important dans cette zone, et les populations attendent de l’emploi du projet.

Un projet écologique et humain

Un plan d’aménagement comprenant la création d’une pépinière forestière permettant de planter plus d’arbres que le nombre de prélèvement, entraînant une densification des massifs forestiers et une augmentation de la ressource local.
La labellisation en FSC dans une région où ce type de gestion est extrêmement rare voir inexistante permettra au projet un potentiel de communication et de valeur ajoutée important.
Un partenariat avec l’association citoyenne Jamana Nietaga (“Mali Horizon Développement” en bambara) qui a pour rôle le développement local de la région tant pour l’économie, pour l’environnement, que pour l’humain. Elle permet au projet de trouver les candidats à l’embauche dans les différents secteurs d’activités recherchés en répartissant les emplois dans les différents villages concernés par les massifs en concession, le projet peut aussi lui sous traiter de nombreuses tâches comme l’entretien des chemins et des pares feu, la formation et l’équipement des agriculteurs (constitution d’une coopérative agricole et d’une CUMA) pour diminuer la culture sur brûlis et optimiser la productivité des terres ce qui a pour résultante la diminution de la pression sur les massifs, etc.